Vous faites partie du collectif « Artistes pour la libération d’Ingrid Betancourt ». Pouvez-vous nous donner les raisons de cet engagement ?
On m’a sollicité pour apporter un soutien. Tout ce que je peux faire, c’est en parler dans mes concerts et essayer de sensibiliser le plus de personnes possible à cette situation.
Et à Bobital, allez-vous dire un petit mot pour Ingrid ?
Oui, bien sûr. Il faut tous que l’on continue à y penser. Ici, ce que l’on peut faire, c’est y penser très fort. Croiser les doigts, pour les religieux, priez. Pour les athées, y croire très fort. Et pas lâcher l’affaire. Garder l’espoir. C’est assez bouleversant quand même. Je fais partie de ceux qui croisent les doigts à mort et on est des millions à attendre un grand soulagement, qu’on aura tous un jour.
Pour visiter son site, cliquer ici.